Jeppesen, j’ai pu lire qu’une image « dans les sombres » était préférable en Raw à une image
trop claire, et que la propension à assombrir sans boucher dépendait bien sur de l’appareil
(capteur, etc..).

Ceci parce qu’il y a plus « d’information » dans les noirs que dans les blancs, (je n’ai pas retenu
en détail les valeurs).

J’ai testé avec succès, même si je ne fais pas beaucoup de raw en voyage (D800) je traite
plus souvent avec 1 raw plutôt qu’avec 1 bracketing, puisque je travaille à main levée .
La capacité du capteur permet en traitant des images « très foncées » de récupérer un
maximum d’information tout en préservant les points de lumières, par exemple, qui ne
« bavent » plus.

Bien sur le mieux reste de tester son appareil pour savoir jusqu’où aller.

Jeppensen, tu as raison et tu m’as déja corrigé sur un autre poste (sic ! 2 fois le même jour).

La balance entre les noirs et les Blancs est bien asymétrique, mais avec beaucoup plus de
latitude entre « 0 »et blanc. C’est exact. C’est ce qu’il faut lire.

Mais le D800 a une forte capacité à récupérer dans les ombres, à cause d’un codage Raw
en 14 bits ill me semble.
Donc j’en profite, c’est pour cela que ma méthode fonctionne pour moi.
Tu as parfaitement raison sur « Cramé et Bouché ». Mais les perfs possibles vont dépendre
de l’appareil.

En ce qui concerne le bracketing à main levée tu as raison, mais ne te moque pas.
Je n’ai pas spécialement la tremblotte et j’ai presque la capacité de regarder l’écran entre
chacune des 3 prises et de « recadrer correctement ». En plus, couplé avec le mode « rafale »
la vie du « bracketeur » est simplifiée.
Mais si c’est facile avec une optique standard ou un petit zoom, là où les mouvements vont
se faire de manière linéaire droit devant soit, (haut/bas et la plupart du temps on se voit
bouger puisque la vision se concentre quelque peu au centre de l’image), et sont faciles à
corriger.
En même je pense utile de rappeler que quand tu es en mouvement (et là tu peux te
moquer, parce que je l’ai fait).

Par contre, j’ai été confronté à des difficultés sur ultra grand angle. Là le petit geste du
photographe qui se transforme en mouvement de grande ampleur c’est sur les cotés et
en rotation, c’est moins visible à la prise de vue et beaucoup moins facile à rattraper en
traitement surtout s’iil y a du « barillet ».

Voila, je pense que je déborde par rapport au post, mais également que cela peux
intéresser.   Merci en tout cas d’avoir pris du temps.