La photographie numérique, un parfait exemple de la puissance de l'informatique|Technique Photo|Forum|Fotoloco
8 janvier 2017
Je vous propose en partage, un lien vers une conférence qui traite de la puissance de l’informatique appliquée à la photo
Bon visionnage
https://www.college-de-france……-16h00.htm
en télchargement
3 novembre 2013
Merci pour le partage de cette excellente conf.
Elle met de l’eau à mon moulin qui consiste à tordre le coup à ces idées ineptes que sont « image brutes de capteur » ou « photo de la prise de vue ».
Prise de vue et développement sont inséparables. Demander au logiciel intégré à l’APN de choisir un espace colorimétrique et/ou une balance des blancs pour sortir un jpg c’est exactement la même chose que de le faire plus tard avec un RAW sur un ordi.
Ces vielles « croyances » remontent au temps de l’argentique ou la plupart faisaient développer leur films par des labo. Pour le grand public les machine tout automatique prenaient d’ailleurs peu de de gants avec. Du coup il semblait que la photo ne consistait qu’à déclencher. En tout cas, pour la plupart c’était le seul levier sur lequel il pouvaient agir pour obtenir de la qualité.
Il faut savoir que tous les grand photographes, si ils ne le faisaient pas eux même, travaillaient avec un technicien attitré avec qui il formaient une équipe. Les photos étaient le résultat de cette équipe preneur de vue/développeur.
En numérique se contenter du travail interne à l’APN revient à filer ses pellicules à un labo en espérant qu’il ne va pas trop gâcher notre travail. Donc mon conseil, si vous voulez avoir la main sur tout le process photographique apprenez et utilisez les logiciels de développement.
Sony SLT A99V / Sony DSC-RX100M2 / Street-Bob 114
1 avril 2014
D’accord avec toi Jepesen, comme tu dis : « vsi vous voulez avoir la main sur tout le process photographique apprenez et utilisez les logiciels de développement. »
Â
Toutefois, un constat:
Je shoot aussi en RAW, mais il ne me viendrait pas à l’idée de critiquer les photos d’un photographe qui exploiterais des JPEG du boitier, si le résultat lui plait et me plait, ce qui arrive, les JPEG des photos de ma femme qu’elle tire de son boitier sont parfois meilleurs que mes RAW développés.
Jeppesen a déclaré
Merci pour le partage de cette excellente conf.Elle met de l’eau à mon moulin qui consiste à tordre le coup à ces idées ineptes que sont « image brutes de capteur » ou « photo de la prise de vue ».
Prise de vue et développement sont inséparables. Demander au logiciel intégré à l’APN de choisir un espace colorimétrique et/ou une balance des blancs pour sortir un jpg c’est exactement la même chose que de le faire plus tard avec un RAW sur un ordi.
Ces vielles « croyances » remontent au temps de l’argentique ou la plupart faisaient développer leur films par des labo. Pour le grand public les machine tout automatique prenaient d’ailleurs peu de de gants avec. Du coup il semblait que la photo ne consistait qu’à déclencher. En tout cas, pour la plupart c’était le seul levier sur lequel il pouvaient agir pour obtenir de la qualité.
Il faut savoir que tous les grand photographes, si ils ne le faisaient pas eux même, travaillaient avec un technicien attitré avec qui il formaient une équipe. Les photos étaient le résultat de cette équipe preneur de vue/développeur.
En numérique se contenter du travail interne à l’APN revient à filer ses pellicules à un labo en espérant qu’il ne va pas trop gâcher notre travail. Donc mon conseil, si vous voulez avoir la main sur tout le process photographique apprenez et utilisez les logiciels de développement. Â
Bien dit
3 novembre 2013
Daniel_C a déclaré
D’accord avec toi Jepesen, comme tu dis : « vsi vous voulez avoir la main sur tout le process photographique apprenez et utilisez les logiciels de développement. »Â
Toutefois, un constat:
Je shoot aussi en RAW, mais il ne me viendrait pas à l’idée de critiquer les photos d’un photographe qui exploiterais des JPEG du boitier, si le résultat lui plait et me plait, ce qui arrive, les JPEG des photos de ma femme qu’elle tire de son boitier sont parfois meilleurs que mes RAW développés. Â
Et cela illustre une autre constante qui est que ce n’est pas la qualité technique qui fait une bonne photo. C’est aussi pourquoi autant je conseille de développer et de prendre la main sur tout le process autant j’essaye de refréner la course au matériel de certain. Ne pas croire qu’en changeant pour un APN plus récent, plus gros, plus cher, plus… vous aller d’un seul coup faire de meilleures photos. Un bon ouvrier devrait avoir de bons outils mais de bons outils ne font pas un bon ouvrier.
Sony SLT A99V / Sony DSC-RX100M2 / Street-Bob 114
1 avril 2014
Jeppesen a déclaré
Et cela illustre une autre constante qui est que ce n’est pas la qualité technique qui fait une bonne photo. C’est aussi pourquoi autant je conseille de développer et de prendre la main sur tout le process autant j’essaye de refréner la course au matériel de certain. Ne pas croire qu’en changeant pour un APN plus récent, plus gros, plus cher, plus… vous aller d’un seul coup faire de meilleures photos. Un bon ouvrier devrait avoir de bons outils mais de bons outils ne font pas un bon ouvrier. Â
Tout à fait d’accord, c’est le photographe qui fait la photo, pas l’appareil et ses algorithmes , c’est ce que je voulais souligner
Une photo ratée à la prise de vue ne peut être récupérée en chef d’œuvre en post traitement. Mais un jour, dans un autre siècle, peut être que …
4 mars 2015
Jeppesen a déclaré
Ces vielles « croyances » remontent au temps de l’argentique ou la plupart faisaient développer leur films par des labo.
Dans le cas de tirages sur papier d’après négatifs il y a effectivement une part d’interprétation de la part du tireur mais en inversible c’est impossible. Le film passe directement du boitier du photographe à la développeuse E6 puis, en sortant de la développeuse il est découpé et mis sous cache. Donc l’image que l’on observe n’est pas brut de capteur mais brut de film.
La liberté n'est jamais donnée, il faut la conquérir.
3 novembre 2013
Jonathan66 a déclaré
Jeppesen a déclaré
Ces vielles « croyances » remontent au temps de l’argentique ou la plupart faisaient développer leur films par des labo.
Dans le cas de tirages sur papier d’après négatifs il y a effectivement une part d’interprétation de la part du tireur mais en inversible c’est impossible. Le film passe directement du boitier du photographe à la développeuse E6 puis, en sortant de la développeuse il est découpé et mis sous cache. Donc l’image que l’on observe n’est pas brut de capteur mais brut de film. Â
Et? Brut de film mais de quel film? le choix de la pellicule, les conditions de prise de vue (température, hygrométrie, etc…) influe sur le résultat. Comme l’explique M. Berry la « vraie photo » ça n’existe pas, c’est une vue de l’esprit. Mais tu as raison, la diapo laissait moins de marge de manÅ“uvre et c’est peut-être pour ça qu’elle surtout été utilisée comme moyen pédagogique ou divertissement populaire.
Enfin bref peux importe, mon but c’est d’inciter les photographes à prendre en main tout le process de la photo numérique et de les convaincre qu’ils ont à gagner à faire leur choix plutôt que subir ceux dictés par l’industriel qui a fabrique leur APN. Ne serait-ce que pour leur permettre de comprendre ce qui se passe , pourquoi ça se passe et d’avoir alors, si besoin, le moyen d’y remédier. D’autant que c’est extrêmement plus simple et plus abordable que d’avoir un labo photo couleur à la maison. Attention il n’est pas ici question de dire que l’on peut faire n’importe quoi à la prise de vue et qu’on pourrait le récupérer avec l’ordi.
Sony SLT A99V / Sony DSC-RX100M2 / Street-Bob 114
20 janvier 2015
Jeppesen a déclaré
Attention il n’est pas ici question de dire que l’on peut faire n’importe quoi à la prise de vue et qu’on pourrait le récupérer avec l’ordi. Â
Npn, mais le problème est de manière plus concise…    » on peut faire n’importe quoi ….avec l’ordi. «Â
1 avril 2014
Après le métro sans conducteur, les avions sans pilotes, les téléphones qui post traitent tout seuls les photos; Bientôt , on aura plus besoin d’un photographe humain pour faire des photos.
1 avril 2014
Un autre lien qui confirme la part croissante de l’informatique dans la photographie numérique de demain:
leo7523 a déclaré
Daniel_C
Ouaih…et bien depuis que j’ai investit dans un appareil qui détecte quand tu souris…
je n’arrive plus à faire un seul selfie….. :+))))
les limites de la technologie…
Il faut installer l’application bouche de canard et tout rentre dans l’ordre Leo. ;-)
1 avril 2014
Jesse_alrys a déclaré
La seule question à se poser : la photographie, est-elle un art ? Â
Pas d’accord, je dirais que ça prouve que l’appareil n’est qu’un outil, de plus en plus sophistiqué, éventuellement à la disposition des artistes … ou de la gendarmerie, et ce depuis le 19ème sciècle .