Jerome, tu n’es pas un posteur fou qui publie à tour de bras. Tu as relativement peu de photos. Si on fait la moyenne cela fait environ une par mois. Ca veut dire que une fois par mois tu es obligé de faire un léger effort pour commenter quelques photos donc je comprends pas que cela t’exaspère autant que tu le dis.

Il faut arrêter de chercher des excuses pour justifier la présence de commentaires inutiles car c’est uniquement une question d’auto discipline. Et comme le souligne Pixi, ceux sont les donateurs qui publient le plus de commentaires non constructifs alors qu’ils n’en ont pas besoin pour poster leur photos.

Si commenter les photos des autres est si insurmontable que tu le dis, c’est la raison de ta présence sur Fotoloco qu’il faudrait remettre en question.

jerome06 a écrit
Effectivement, je poste peu peux de photos car…. Il faut commenter  pour poster… Sinon j’en posterai plus n’est ce pas ? :)   

Ben là tu le dis toi même, s’il n’y avais pas d’obligation tu posterai d’avantage car tu n’aurais pas besoin de faire de commentaire… Donc tu posterai et tu partirai pour revenir dire merci le lendemain avec un ou deux com par ci par là parce que « tu n’as pas 3 plombes et on verra demain ». Si ce comportement devenait global, Fotoloco fermerait ses portes au bout d’un mois tellement il n’y aurait pas d’interaction.

L’obligation n’est qu’une incitation au partage et à la discussion. A partir du moment ou tu es donateur, tu payes donc tu as tout intérêt à venir profiter au maximum du site. Si tu es donateur c’est que tu apprécie Fotoloco et donc et que tu vas participer de toi même donc l’obligation n’a pas lieu d’être.

Et il faut aussi tenter d’être responsable en étant conscient des enjeux, car sur le web tout va très vite et un site internet reste fragile. Il faut jouer le jeu un minimum. Se résoudre à juste regarder les vidéos de Blaise est la solution de facilité. On prend ce qui est gratuit, on se sert en cachette, on progresse puis on diffuse ses photos pour recueillir des like.

On s’habitue au gratuit et on crie au loup en jouant la carte de la victimisation d’être prit pour des consommateurs dès qu’il y a une contrepartie financière. Alors on se réfugie sur les réseaux sociaux qui sont des espaces de liberté gratuits alors qu’en fait on devient soit même le produit qui génère des bénéfices grâce à toutes les informations personnelles que l’on donne gracieusement mais on fait avec car on est entré dans une société où notre intimité à moins de valeur à nos propres yeux que notre compte en banque.

Bref, tout est histoire de mentalité. Même si tous les commentaires ne sont pas constructifs, il y a une personne derrière qui a prit le temps pour les écrire et cela reste au final une attention plus louable qu’un silence ou qu’un fond blanc.