Bonjour,

Difficile de te conseiller un format, grammage, type de papier, c’est affaire de gout, suivant le thème et la photo elle-même le rendu peut-être different suivant le type de papier.

Sur les sites ci-dessous possibilité de télécharger les profiles ICC pour un aperçu mais encore faut-il avoir un écran calibrer pour un résultat proche de la réalité du tirage.

PosterXXL accepte le format TIFF, 

• Impression Fine Art sur du papier photo haut de gamme 250 g/m²

LaboPhotos (Tirage photo professionnel sur papier d’art) voir onglet « Papiers d’Art » 

• Un grand choix de papier
• • Caractéristiques techniques du fichier :
  • Résolution : 300 Dpi ou 72 dpi minimum à l’échelle 1
  • Formats : JPEG ou TIFF (Aplati et compression LZW)
  • Fichiers RVB, CMJN ou niveaux de gris

En effet le 130g ne sert qu’au tirage lambda format 10×15 appelé communément « tirage classique ». 

Chez labophotos.fr tu ne seras pas déçu aucun papier en dessous de 260g, ils ont une clientèle professionnelle en majorité et bien sûr des particuliers exigeants comme toi et moi 

@+

bonsoir, je m’incruste dans votre conversation pour ajouter qq questions et un retour d’expérience chez labophotos.

Tout d’abord, j’ai découvert Labophoto au salon de la photo il y a 2 ou 3 ans. c’est une PME Dijonnaise qui me plait beaucoup et qui fait du boulot très pro avec des tarifs qui me semblent dans le marché. Si tu as l’occasion de les rencontrer sur le salon de la photo tu auras aussi l’occasion de voir de visu les différents styles de papier et d’avoir des conseils en fonction de tes besoins. tu peux aussi les joindre par tel pour échanger avec eux. c’est ce que j’avais fait la 1er fois. C’est l’avantage de la « petite PME » et ce n’est pas péjoratif quand je dis ça bien au contraire. Mon seul regret c’est de ne pas habiter Dijon pour aller directement les voir. 

Mon retour d’expérience ne porte pas sur des impressions papier mais sur de l’aludibond et du plexis. le N&B sur l’aludibond, perso je trouve ça top. la couleur sur du plexis ça devrait être top aussi mais je suis un peu déçu car les 5 ou 6 cadres que j’ai fait faire son moins claquant que ce à quoi je pouvais m’attendre comparé à la version que je peux voir sur mon écran d’ordi ou sur mon smartphone. le pb ne viens pas de Labophoto (j’en suis convaincu) mais plutôt de l’image TIFF que je leur mets à dispo. D’où ma question portant sur les paramétrages du TIFF. Pour ma part j’ai Lightroom. si je reprends les possibilités que l’on a comme paramètrage on retrouve (en gras mon « export TIFF actuel »):

dans Export de fichier sous LR:

• format = TIFF / compression = SANS / esp. Colorimétrique = sRVB  ( je crois que j’ai bon)
• profondeur = 8 ou 16 bits (lequel choisir ?)
• résolution = 240 ppp / 300 ppp (lequel choisir ?)
• netteté pour = écran / papier mat / papier brillant (lequel choisir pour du plexi : papier brillant ?)
• gain = faible / standard / élevé (lequel choisir ?)

pour avoir une qualité meilleure (= ressemblant à ce que j’ai sur mon écran  = couleurs plus vives) en taille 60×40 env il faut sans doute que je change les paramètres de mon export TIFF. Mais je ne vois pas vraiment de différences (toujours sur mon écran) entre tous ces paramètres.

j’avais lu aussi qu’il ne fallait pas hésiter à forcer un peu sur les curseurs quand on veut faire des impressions. Mais là encore je trouve ça difficile. Jusqu’où aller sachant que mon référentiel reste mon écran qui en plus n’est peut être pas bien étalonné.

je me dis que ce qui m’arrive sur du plexi peu sans doute arriver aussi sur du papier. Si vous avez un conseil, je suis preneur pour vraiment me dire la prochaine fois en déballant le carton : waaouuuu ça claque !

A+ Denis 

Très intéressant ce post même si certains termes restent pour moi encore très mystérieux. Toujours est il que j’ai regardé bien plus en détail ce que préconise Labophoto sur son site. A la lumière de ton écrit (JLHYPhotos) et des conseils de Labophotos j’ai compris l’histoire de l’aplatissement et de la compression LZW. Ensuite, j’exporte mes images en 300 Dpi depuis LR avec comme configuration :

• esp. Colorimétrique = Adobe RVB 98
• profondeur = 8 bits (visiblement ça suffit )
• netteté pour = papier brillant
• gain = élevé

avec cette config, l’indicateur de « qualité » lors du test sous labophoto à des tailles d’impressions importantes (bien plus que 60×40 par exemple) reste tout le temps « suffisant » alors qu’il passait assez rapidement à « moyen » voir « insuffisant » avec mes réglages précédents. 

Visiblement, LR ne permet pas de faire du CMJN. Tu fais comment toi ? Et pourquoi Labophoto ne le préconise pas sachant que ça semble être le nec plus ultra effectivement ?

j’ai également contacté Labophoto pour voir si je peux faire un test avec eux sur base de 2 ou 3 photos (la même mais avec des config d’export d’impression différentes) pour qu’ils puissent me dire quelle config aurait le plus de « peps » en rendu. 

A suivre. Mais en tout cas merci pour le post, c’est assez éclairant sur ce que je ne faisais pas :) à priori pour maximiser le rendu des impressions. 

@+ denis

Je me permet de proposer ma petite expérience…. étant donné que je n’y connais rien en profil ICC,
écran calibré, etc… j’imprime chez mon photographe de quartier…
Il est équipé pour imprimer en lé de 70 cm et il sait ce qu’il fait….
J’en ai imprimé quelques unes que j’ai eu le soir même..

J’ai conscience que d’avoir plus de maitrise est une bonne chose, et je vais approfondir vos
informations précédentes…merci par ailleurs.

Mais le commerce de proximité, c’est parfois bien aussi.. (Lyscar, je n’habite pas à Dijon…)

Jeppesen a déclaré

JLHYPhotos a déclaré
C’est ce que j’explique Jeppesen dans le post 9, dans LR on visualise mais l’espace de travail reste en sRGB contrairement à PhotoShop…  

Oui Daniel_C à raison l’espace de travail de Lightroom c’est Melissa, très proche de Photopro, pas sRGB.

En Mode « Epreuvage écran » LR siùmule l’espace que tu lui dis, écran ou imprimante.  

Dans Lightroom, l’histogramme ne représente pas le profil effectif du fichier RAW. Il ne représente pas non plus le profil choisi pour l’exportation. Il représente le fichier une fois dans Photoshop sous un gamma classique de 2,2 comme le sRGB ou l’Adobe RGB. C’est une conséquence qui va frustrer les experts, mais combler les débutants. Pour s’y retrouver dans tous ces profils, Adobe a eu la bonne idée de nommer ce profil de représentation : Melissa.

Je ne connais pas tes sources, va voir ICI, un peu de lecture…