Bonjour

Quand on veut vraiment faire de la photo , il est préférable souvent de voyager seul , que ce soit pour la photo de paysage ou bien la photo de rue même si je suis souvent parti en couple ou avec 2 ou 3 compagnons partageant la même passion , la photographie ! L’immersion n’est pas la même , partir seul implique sa propre organisation , cad aller au bout de ses obsessions sans autre limite que soit même ! J’ai pas mal voyagé à l’étranger mais souvent mal voyagé , cad être simplement de passage sans rien approfondir ! mes seuls voyages en solo sont en Bretagne et surtout sur un petit territoire comme à Ouessant où je suis retourné pas mal de fois pour photographier les tempêtes et rencontrer les gens !

Pour en revenir au tourisme de la misère , je ne l’ai jamais fait ou peu à la sauvette je l’avoue,  car son implication pour moi n’est pas compatible avec le tourisme de masse ou même petite masse, le tourisme de passage !  photographier la misère pour moi est une démarche qui nécessite une longue approche , une immersion humaniste et sincère ce qui n’est pas donné à tout le monde ! Certains photographes professionnels le font comme le photographe Antoine d’Agata et d’autres comme à une époque Sebastião Salgado jusqu’à épuisement ! J’en serai incapable ! 

Bonne journée

leo7523 a déclaré

photoch a déclaré

Dans le cadre d un grand voyage a l etranger. Il y a peut être une différence à faire qui est celle de voyager en solo  ou en couple,  ou de  voyager en groupe organiser via une agence de tourisme .ou via agence humanitaire …

Pouvez vous expliquer la différence pour ce qui concerne le fait de faire de la photo dans un cas comme dans  l autre ?

Quel sera votre approche ?

Leo7523
« On sort peut être du cadre de la photo…. »est ce que voyager en groupe dans un pays pauvre s’apparente

à du voyeurisme ?… »

Sinon, pour moi, l’approche du « photographe » est la même…il y a juste une contrainte supplémentaire

quand il faut suivre un groupe…mais il y a toujours la possibilité de s’isoler et d’appréhender l’environnement

seul régulièrement..et la relation avec les autres (autochtones) peut être biaisée..mais ça dépend finalement

de sa propre approche…

Seul, on gère son temps disponible soit même tout le temps ( mais il y a quelques possibilités en groupe.. ),

on fait ce que l’on veux (plus ou moins) mais il ne faut pas oublier les contingences..

Au final, à l’arrivée ce sera deux voyages différents, des photos différentes, des souvenirs différents, mais les

mêmes « bons moments, bons contacts si on les cherche »….

Il faut juste ne pas s’inventer d’histoires.. »

  

Voyager en groupe n’est pas du tout la même immersion ni le même état d’esprit ! je ne critique pas les voyages à plusieurs qui ont leur intérêt dans l émulation si l’on partage la même chose , c’est autre chose ! 

photoch a déclaré

leo7523 a déclaré

Au final, à l’arrivée ce sera deux voyages différents, des photos différentes, des souvenirs différents, mais les

mêmes « bons moments, bons contacts si on les cherche »….

Il faut juste ne pas s’inventer d’histoires..

Le titre  j ai proposé est maladroit . Pour ou contre  etc .

Le sujet pourrait être   comment prendre une photo en voyages serait mieux.

Ou encore , comment prendre une photo sans que un malaise se fasse sentir  ,d un côté comme de l autre ?

C’est la même chose en voyage qu’ici…il y aura malaise si tu ne sais pas aborder la personne…ou si tu
shoote au mauvais moment… ( et toutes déclinaisons.. )…si tu t’imposes de trop…
Il n’y a rien de facile…

En Indes, j’avais demandé à une jeune femme..accompagnée de son mari..elle m’a dit « non »…puis
« peut-être »…puis « Oui »…et on a fait le tour de son mari derrière lequel elle se cachait….
impossible d’avoir la bonne lumière et la bonne position dans ce double portrait..

Je vais poster quelques portraits..de voyages « seuls » ou « organisés »..

La Corée du Nord va être de nouveau ouverte au tourisme (mais ouverte à quoi?)