Photographe ou ou photographiste ?|Discussion libre|Forum|Fotoloco
30 novembre 2016
Bonjour ,
Nouveau sur le site et débutant en photo ,je m’interroge en voyant les productions des uns et des autres et me demande ou est la frontière entre photographe et photographiste …Â
Peut être pourrait il être pertinent de faire deux catégories distinctes ?
ou est pour vous la frontière entre ces deux mondes ?
ce post est avant tout pour lancer un débat (si tant est qu’il n’ait jamais été lancé ici) et non une polémique .
bien à vous
3 novembre 2013
tu entends par là la différence entre entre photo réaliste et photo retouchée?
Vaste débat mainte fois levé. La première difficulté serait de définir « réaliste ». La scène vue par toi, par moi, par un daltonien, par une vache? Vu sous la lumière du  matin, du soir, lumière artificiel au néon? au LED, chaude, froide,  la nuit, l’hiver, l’été…? Laquelle est la « vrai »?
Ensuite il faudrait définir ce qui est ou n’est pas une retouche. Corriger la distorsion, pourtant réaliste, d’un fish-eye est-ce une retouche? Enlever un bouton de fièvre sur un portrait est-ce retouche? Augmenter la dynamique d’une image par du HDR est-ce retouche? Passer en noir et blanc une photo prise en couleur par le capteur est-ce retouche?….
On n’est pas rendu n’est-ce pas?
Sony SLT A99V / Sony DSC-RX100M2 / Street-Bob 114
9 février 2015
Steve Mc Curry a triché … pourquoi s’en priver alors ….Â
Maintenant et à titre perso perso …. je n’aime pas le totoshoppage intrusif comme on le voit de plus en plus, ici et ailleurs … en fait, je n’aime pas totoshop tout court …. faire du « beau » avec une photo médiocre à la base …. c’est nul, c’est pas de la photo … c’est comme la cuisine moléculaire : original au début et après on a mal au ventre … yessssssssssssssssssssssssssssssÂ
1 janvier 2014
Ce qui est bête dans ce débat c’est de faire le procès de Photoshop, du numérique et de jeter le bébé avec l’eau du bain alors que si on s’intéresse un minimum à l’histoire de la photographie on voit vite que la retouche est aussi vieille que la photo elle même : pochoir et ombre chinoise sous l’agrandisseur, découpe, grattoir, aérographe sur le positif etc etc.
Certains sont bornés à voir la photo comme un art descriptif qui doit être absolument fidèle à la réalité mais c’est une grande étroitesse d’esprit.
Le seul véritable problème c’est les photographes qui nient avoir recours à la retouche alors qu’ils le font allègrement. Le problème c’est la mauvaise foi et le mensonge, pas la retouche.
9 février 2015
JiPeGe a déclaré
Ce qui est bête dans ce débat c’est de faire le procès de Photoshop, du numérique et de jeter le bébé avec l’eau du bain alors que si on s’intéresse un minimum à l’histoire de la photographie on voit vite que la retouche est aussi vieille que la photo elle même : pochoir et ombre chinoise sous l’agrandisseur, découpe, grattoir, aérographe sur le positif etc etc.Certains sont bornés à voir la photo comme un art descriptif qui doit être absolument fidèle à la réalité mais c’est une grande étroitesse d’esprit.
Le seul véritable problème c’est les photographes qui nient avoir recours à la retouche alors qu’ils le font allègrement. Le problème c’est la mauvaise foi et le mensonge, pas la retouche. Â
.. pour montrer ma grande ouverture d’esprit aujourd’hui …. t’as un peu raison
30 novembre 2016
En fait ma question ne tournait pas autour du fait de ce qui est bien ou mal , pour ou contre .
Je n’ai absolument par pour désir d’opposer deux pratiques mais peut être de mieux les distinguer au lieu de se raconter que c’est la même chose.
Il me semble que la retouche importante (pS ou LR) ait un impact visuel très fort visuellement qui esbroufe un peu le spectateur ,plus qu’une photo moins « traitée »
cette page : https://fotoloco.fr/post-of-the-month/ en atteste un chouia….
Je ne travaille pas sur photoshop et développe mes images dans Dxo .Je ne suis pas contre photoshop ou lightroom.
Je m’interroge sur la définition de l’objet « photo » et de l’objet « art graphique » crée à partir d’une photo .
n’y a t’il pas des marqueurs précis ?
7 juillet 2015
A Parlie, salut et fraternité,
Pour faire simple, je dirais, qu’à mon sens la différence entre « photographe » et « photographiste » est dans les termes mêmes que tu emploies : le « photographe » part d’un cliché qu’il va chercher à améliorer suivant son goût (enlever un élément, forcer un ciel, retravailler la lumière, etc.), travail qui a toujours été nécessaire, mais entre l’image de base et l’image présentée, il y a une filiation évidente.
Le « photographiste » a plutôt la démarche d’un peintre devant sa toile vierge : il ne s’agit pas d’améliorer le réel, mais de créer une « réalité » personnelle en combinant diverses images et divers traitements jusqu’à matérialiser son idée.
Prenons un exemple simple : j’ai photographié une jolie danseuse, mais le fond est tout pourri.
En tant que « photographe » je vais flouter le fond, l’assombrir, bref essayer de m’en débarrasser.
En tant que « photographiste », je vais changer le fond.
Les deux démarches sont aussi valables l’une que l’autre : on peut faire une photographie extrêmement complexe qui exige une équipe et de très gros moyens et faire un « photographisme » très dépouillé pour exprimer la même idée, tout est dans tout, comme dit l’autre.
Quant à la « réalité » photographique, ne t’embête pas avec ça : elle n’existe pas point final. (on a déjà parlé sur ce forum des limites du photo-journalisme). Elle n’a d’ailleurs jamais existé dans l’art : que je sache aucun peintre du Moyen-Âge n’était contemporain du Christ et cela ne les a pas empêché de peindre (admirablement) des « Vierges à l’Enfant », et Praxytèle n’a pas sculpté Aphrodite au vu du divin modèle ; admettons-donc qu’il n’existe qu’une réalité cohérente et une réalité impossible et que nous les acceptons toutes deux en parfaite conscience.
Pour revenir au sujet :
Jose C. Lobato fait de la « réalité cohérente » qui est de la photographie, Adrian Donoghue fait de la « réalité cohérente » qui est du photographisme
Chema Madoz fait de la « réalité impossible » qui est de la photographie, Erik Johansson fait de la « réalité impossible » qui est du photographisme.
Débrouille-toi avec ça en méditant la phrase de Magritte « Les choses visibles cachent toujours d’autres choses visibles. Mais une image visible ne cache rien ».
Tu as quatre heures.
Amicalement,
1 novembre 2014
Salut les locos.Â
Pour ma part je suis entièrement d’accord avec JiPeGe.Â
Un peu marre de tout ces puristes qui disent que tout doit être fait à la PDV et laisser la photo reprensenter fidèlement ce que l’ont voit, certes il est indispensable d’optimiser au mieux la PDV (cadrage, composition, exposition etc…), mais on peut très bien faire une jolie photo qui peut être néanmoins banale et lui apporter un traitement ou quelques retouches pour lui donner un aspect plus personnel en fonction de nos goûts et/ou de nos envies.Â
C’est sur que ça peut être discutable et pas plaire à tout le monde mais c’est aussi ça la photographie, c’est avant tout se faire PLAISIR, peu importe après tout de ce que le « puriste » pense.Â
L’art dans la photo est divers, varié et très subjectif, et c’est ça qui fait aussi le charme de la photographie.Â
À bon entendeur….
Amicalement Franck.Â
1 janvier 2014
Tout est une question d’intention.
On peut très bien adopter un processus sans retouche, pourquoi pas. Le plus important c’est la démarche du photographe, pas les étapes de sa création. Vouloir classer les photographes entre d’un coté ceux qui ne retouchent pas et de l’autre ceux qui retouchent c’est vouloir coller de simple étiquettes. C’est aussi pertinent que de séparer ceux qui utilisent des focales fixes et ceux qui utilisent des zooms. Organiser la galerie de cette manière c’est résumer la photo à des critères matériels ; c’est passer à coté de l’essentiel à savoir pourquoi le photographe a déclenché, pourquoi il a retenu et pourquoi il l’a présente au monde.
Si la galerie de Fotoloco était consacré à l’apprentissage alors oui il serait intéressant pour le débutant de savoir dans quelle proportion une photo a été post traité, c’est une info qui serait aussi voir plus utile que les Exifs.
Mais la galerie de Fotoloco est une galerie d’exposition avec des échanges libre et dans ce contexte, je ne vois pas en quoi il serait bénéfique de catégoriser les images selon leur post production.
Â
Â
Pixi a déclaré
.. pour montrer ma grande ouverture d’esprit aujourd’hui …. t’as un peu raison  Â
Mon commentaire ne t’étais pas particulièrement destiné. Le discours de « la photo c’est retranscrire la réalité un point c’est tout » c’est plutôt une vision de débutant sans grande culture de l’image. Ce n’est pas ton profil.
30 novembre 2016
Loin de moi l’idée de parler de réalité universelle ,qui est une grande illusion ,de fait .
Mon questionnement part de mes observations de deux démarches artistiques très complémentaires et très différentes à la fois et qui se côtoient sans distinction .
Febus j’aime bien ta définition des deux démarches .
Ce questionnement m’a fait chercher du coté de l’étymologie de photographie ,qui signifie littéralement « écriture de la lumière »
Que nous soyons photographes ou photographistes ,ce qui nous relie ,c’est qu’on est tous des écrivains de la lumière et je trouve ça vachement chouette !!!
30 novembre 2016
JiPeGe a déclaré
Si la galerie de Fotoloco était consacré à l’apprentissage alors oui il serait intéressant pour le débutant de savoir dans quelle proportion une photo a été post traité, c’est une info qui serait aussi voir plus utile que les Exifs.
Mais la galerie de Fotoloco est une galerie d’exposition avec des échanges libre et dans ce contexte, je ne vois pas en quoi il serait bénéfique de catégoriser les images selon leur post production.Â
Â
A mon sens tous les gens ici sont des apprentis de fait qu’ils aient 1 an ou 20 ans d’expérience .Après 20 ans de pratique (quelle qu’elle soit ) je continue à apprendre et suis de ce fait apprenti même si je montre mon travail à d’autres pour le confronter ou le proposer à leur regard . Le fait qu’il y ait deux galeries permettrait de clarifier les pratiques ,de les distinguer et de les singulariser.Lorsque je vois une photo j’ai envie de savoir à qui j’ai à faire .
Présentement je viens de regarder ta composition « Aliena » que je trouve très étrange et mystérieuse .Sur ta création les choses sont claires ,je sais que ça n’existe pas ,que ça vient de tes profondeurs et ça me va fort bien .Ce qui me chagrine parfois quand je regarde un cliché c’est la retouche qui masque ou magnifie sans que j’en sois très sur et surtout que ce ne soit pas dit .Un peu comme un mauvais maquillage qui voudrait cacher de jolies rides.Â
16 février 2015
Perso je ferais plutôt la différence entre image (forme) et photographie (fond), peu importe la retouche, car elle existe depuis toujours.
Nous sommes inondés d’images, mais au final, il n’y a pas plus de photographies qu’il y a 30 ans.
On voit 50 000 fois par jour la même image ; toujours les mêmes paysages, toujours les mêmes nanas à moitié nues avec un flare photoshop, toujours les mêmes voies lactées, heureusement, la mode infâme du HDR grossier est passée, etc. Combien de photos réellement singulières, combien laisseront une trace dans le patrimoine photographique ?
Je pense qu’avec le diktat du social network, une grande majorité confond aujourd’hui image et photographie et bcp s’imagine qu’en reproduisant ce qui est fait sur facebook ou youtube on devient photographe tandis qu’on apprend juste à faire comme tout le monde.
Tout le monde n’est pas un Henri Cartier-Bresson, tout autant que tout le monde ne devient pas peintre non plus. Le drame dans tout ça est que si un Ansel Adams émergeait aujourd’hui, il serait conspué par la communauté facebook.
Pixi a déclaré
Steve Mc Curry a triché … pourquoi s’en priver alors ….ÂMaintenant et à titre perso perso …. je n’aime pas le totoshoppage intrusif comme on le voit de plus en plus, ici et ailleurs … en fait, je n’aime pas totoshop tout court …. faire du « beau » avec une photo médiocre à la base …. c’est nul, c’est pas de la photo … c’est comme la cuisine moléculaire : original au début et après on a mal au ventre … yessssssssssssssssssssssssssssss  Â
Â
Faire du beau avec du moche ? Une photo moche ,même avec un traitement poussé restera une photo moche ….. avec un traitement poussé.
9 février 2015
madrik42 a déclaré
Â
Faire du beau avec du moche ? Une photo moche ,même avec un traitement poussé restera une photo moche ….. avec un traitement poussé.  Â
… pas si sûr .. t’aimes pas le ciel, tu le changes complétement avec totoshop ou t’en mets un autre avec un p’tit montage vite fait … t’aimes pas les objets, les personnes .. tu les vires … et les traitements poussés (que je trouve moche dans 90% des cas … tout se ressemble et 2, 3 années après, on en a marre de revoir ses propres photos surfaites et saturées .. avis perso perso) … Mais c’est vraiment à la mode …. t’as qu’à regarder un peu .. ici et ailleurs … je dois avoir mauvais gout, moi
Tout est question de goût, pour la photo comme pour la peinture il y a différentes tendances, entre un Van Gogh et un Rembrandt il y a deuxmondes et pourtant les oeuvres sont toutes magnifiques.
Il y a ceux qui préfèrent la représentation la plus fidèle de la perception humaine et ceux qui apportent leur vision plus  personnelle.
Si vous laissez dix artistes peintres reproduire la meme scène, pas un tableau ne sera identique.
Chacun est libre ensuite d’apprécier ou pas.
Le traitement numérique apporte un plus indéniable à la photo, on peut être contre son utilisation mais il faut aussi savoir tolérer cette pratique.
febus a déclaré
A Parlie, salut et fraternité,
Pour faire simple, je dirais, qu’à mon sens la différence entre « photographe » et « photographiste » est dans les termes mêmes que tu emploies : le « photographe » part d’un cliché qu’il va chercher à améliorer suivant son goût (enlever un élément, forcer un ciel, retravailler la lumière, etc.), travail qui a toujours été nécessaire, mais entre l’image de base et l’image présentée, il y a une filiation évidente.
Le « photographiste » a plutôt la démarche d’un peintre devant sa toile vierge : il ne s’agit pas d’améliorer le réel, mais de créer une « réalité » personnelle en combinant diverses images et divers traitements jusqu’à matérialiser son idée.
Prenons un exemple simple : j’ai photographié une jolie danseuse, mais le fond est tout pourri.
En tant que « photographe » je vais flouter le fond, l’assombrir, bref essayer de m’en débarrasser.
En tant que « photographiste », je vais changer le fond.
Les deux démarches sont aussi valables l’une que l’autre : on peut faire une photographie extrêmement complexe qui exige une équipe et de très gros moyens et faire un « photographisme » très dépouillé pour exprimer la même idée, tout est dans tout, comme dit l’autre.
Quant à la « réalité » photographique, ne t’embête pas avec ça : elle n’existe pas point final. (on a déjà parlé sur ce forum des limites du photo-journalisme). Elle n’a d’ailleurs jamais existé dans l’art : que je sache aucun peintre du Moyen-Âge n’était contemporain du Christ et cela ne les a pas empêché de peindre (admirablement) des « Vierges à l’Enfant », et Praxytèle n’a pas sculpté Aphrodite au vu du divin modèle ; admettons-donc qu’il n’existe qu’une réalité cohérente et une réalité impossible et que nous les acceptons toutes deux en parfaite conscience.
Pour revenir au sujet :
Jose C. Lobato fait de la « réalité cohérente » qui est de la photographie, Adrian Donoghue fait de la « réalité cohérente » qui est du photographisme
Chema Madoz fait de la « réalité impossible » qui est de la photographie, Erik Johansson fait de la « réalité impossible » qui est du photographisme.
Débrouille-toi avec ça en méditant la phrase de Magritte « Les choses visibles cachent toujours d’autres choses visibles. Mais une image visible ne cache rien ».
Tu as quatre heures.
Amicalement, Â
Toujours un plaisir de te lire,Â
Il me faudra plus de quatre heures…
Les exemples pris par febus, comme Madoz ou Johansson sont des bons exemples, des démarches différentes mais techniquement irréprochable, les montages de Johansson sont un travail de fous, inaccessible sans connaitre photoshop parfaitement, mais à partir déjà de belles photos.
Alors peu importe la méthode si le résultat est superbe.
Après comme le dit Pixi, on voit trop de traitement hdr ou autres taillés à la hache à partir d’une photo moyenne, d’où ma réflexion, une photo moche restera moche même après un bon traitement.
Personnellement, je n’ai pas trop le temps de faire de la photo, alors encore moins pour le traitement, Raw therapee pour les raw et gimp pour reprendre un peu la colorimétrie et basta.
1 février 2016
febus a déclaré
A Parlie, salut et fraternité,
Pour faire simple, je dirais, qu’à mon sens la différence entre « photographe » et « photographiste » est dans les termes mêmes que tu emploies : le « photographe » part d’un cliché qu’il va chercher à améliorer suivant son goût (enlever un élément, forcer un ciel, retravailler la lumière, etc.), travail qui a toujours été nécessaire, mais entre l’image de base et l’image présentée, il y a une filiation évidente.
Le « photographiste » a plutôt la démarche d’un peintre devant sa toile vierge : il ne s’agit pas d’améliorer le réel, mais de créer une « réalité » personnelle en combinant diverses images et divers traitements jusqu’à matérialiser son idée.
Prenons un exemple simple : j’ai photographié une jolie danseuse, mais le fond est tout pourri.
En tant que « photographe » je vais flouter le fond, l’assombrir, bref essayer de m’en débarrasser.
En tant que « photographiste », je vais changer le fond.
Les deux démarches sont aussi valables l’une que l’autre : on peut faire une photographie extrêmement complexe qui exige une équipe et de très gros moyens et faire un « photographisme » très dépouillé pour exprimer la même idée, tout est dans tout, comme dit l’autre.
Quant à la « réalité » photographique, ne t’embête pas avec ça : elle n’existe pas point final. (on a déjà parlé sur ce forum des limites du photo-journalisme). Elle n’a d’ailleurs jamais existé dans l’art : que je sache aucun peintre du Moyen-Âge n’était contemporain du Christ et cela ne les a pas empêché de peindre (admirablement) des « Vierges à l’Enfant », et Praxytèle n’a pas sculpté Aphrodite au vu du divin modèle ; admettons-donc qu’il n’existe qu’une réalité cohérente et une réalité impossible et que nous les acceptons toutes deux en parfaite conscience.
Pour revenir au sujet :
Jose C. Lobato fait de la « réalité cohérente » qui est de la photographie, Adrian Donoghue fait de la « réalité cohérente » qui est du photographisme
Chema Madoz fait de la « réalité impossible » qui est de la photographie, Erik Johansson fait de la « réalité impossible » qui est du photographisme.
Débrouille-toi avec ça en méditant la phrase de Magritte « Les choses visibles cachent toujours d’autres choses visibles. Mais une image visible ne cache rien ».
Tu as quatre heures.
Amicalement, Â
Merci beaucoup Dom pour cette explication très cohérente et pour m’avoir fait découvrir ces 4 photographes/photographistes. J’ai vraiment adoré le « travail » de José C. Lobato.
J’en déduit donc que je suis plutôt photographe ;-)
Fredo
7 juillet 2015
@FredoRoiDuVelo : comme tu nous a comblé récemment avec une jolie série urbex et que tu aimes les découvertes, je te propose de rendre visite à différents artistes du genre : Ellen Ow, Adrien Michel, Iris van Wolferen et ForgottenHeritage.co.uk, cela devrait enchanter ton week-end.
A+ pour de nouvelles aventures.